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INSPIRER & AGIR – DES HISTOIRES QUI DONNENT ESPOIR

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gestion des déchets

Bali : Un biologiste crée un sac recyclable si sain qu’on peut le boire

dans Zéro déchet par

Inquiet de la pollution plastique grandissante,  Kevin Kumala, diplômé en biologie, a créé un sac à base d’amidon de manioc qui est 100% biodégradable et même comestible. Pour prouver que le sac est totalement sans danger, il a dissous une partie de celui-ci dans un verre d’eau tiède et puis il l’a bu. Poursuivre…

Les déchets en plastique des plages contribuent au premier flacon recyclable de shampooing

dans Zéro déchet par
P&G fr

Il était prévu que d’ici 2050, il y aurait probablement plus de plastique que de poissons dans les océans du monde. L’initiative de la  multinationale américaine des produits de consommation Procter & Gamble (P&G) devrait stopper cette tendance alarmante. Ceci grâce à sa bouteille de produit capillaire dont le quart est fait à partir de détritus plastiques recueillis sur les plages françaises. Une première dans l’industrie de l’emballage durable.
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France : des sacs biosourcés remplacent les sacs plastiques traditionnels

dans Environnement par
sacs

C’est un pas de plus vers la filière verte dans l’Hexagone : fini les sacs en plastique à usage unique pour les fruits et légumes à partir du 1er janvier 2017. A l’approche de cette date, les entreprises françaises proposent des sacs biosourcés (composés de matière organique et de plastique totalement dégradable) Poursuivre…

Blacksmith : un café artisanal à l’écoute de l’environnement

dans Citoyen Responsable par
Coffee fr

Dans ce café texan, point d’arome ou d’additifs artificiels. Les tasses sont recyclées ou compostées aussi bien que les grains de café et les déchets alimentaires qui sont distribués aux agriculteurs locaux… Plus que simplement servir le café, Blacksmith porte une attention sans faille à la responsabilité sociale, éthique et environnementale, afin que tout le monde puisse siroter son café la conscience tranquille. Poursuivre…

France: premier pays au monde à promulguer une loi contre le gaspillage alimentaire

dans Zéro déchet par
Source: vivredemain.fr

Tout a commencé par une pétition « stop au gâchis alimentaire » en Hauts-de-Seine, en France. Récoltant des centaines de milliers de signatures, elle a pris de l’ampleur à une vitesse fulgurante. Cette mouvance nationale permet aujourd’hui à la France de se réjouir d’être devenu le premier pays au monde à interdire le gaspillage alimentaire en renforçant le cadre légal.

Source: www.consostatic.com
Source: www.consostatic.com

Annuellement, chaque foyer français jette en moyenne 20 à 30 kg de nourriture, selon le rapport intitulé « Lutte contre le gaspillage alimentaire : propositions pour une politique publique » soumis par Guillaume Garot, député PS de la Mayenne et ancien ministre chargé de l’agroalimentaire.  Ce qui est encore plus accablant est le fait qu’un tiers de ces produits n’a même jamais été déballé. La nouvelle loi contre le gaspillage alimentaire, adoptée en février 2016, vient freiner cette tendance.

Votée à l’unanimité, elle vise notamment à réduire le gaspillage alimentaire dans les grandes surfaces. De ce fait, ces dernières ne peuvent plus jeter les aliments ou rendre les produits impropres à la consommation. Javelliser les aliments invendus et les bennes était une pratique courante adoptée par des grandes surfaces. Elle visait à empêcher les sans-abris ou autres individus de récupérer ces aliments.

Sous ces nouvelles dispositions législatives, les supermarchés de plus de 400m2 doivent obligatoirement faire don des produits alimentaires comestibles mais invendus à des associations caritatives avec qui ils devront signer un accord. Les grandes surfaces ont un an devant elles, à compter de la date de la promulgation de la loi, pour revoir leur système.

Elles se retrouvent ainsi contraintes à faire preuve de meilleure gestion des produits alimentaires et à revoir la manière dont les consommateurs sont informés sur les denrées, notamment celles dont les dates de péremption approchent.

Source: api.rue89.nouvelobs.com
Source: api.rue89.nouvelobs.com

Afin qu’elle soit respectée comme il se doit, la loi prévoit aussi des sanctions envers les distributeurs des denrées alimentaires qui continueront à détruire volontairement des produits encore comestibles. Dans les cas où ces aliments ne sont plus consommables pour les humains, il est proposé que la nourriture pouvant être récupérée soit transformée en alimentation animale ou encore, en compost.

Cette loi devra également permettre que « 10 millions de Français mangent à leur faim », selon Arash Derambarsh, le conseiller municipal « Les Républicains » de Courbevoie (Hauts-de-Seine) qui est derrière la pétition « stop au gâchis alimentaire ».  Il a sollicité le soutien du Président François Hollande et sa démarche s’est révélée fructueuse. La pétition a été présentée  et acclamée au Sénat ; la loi, elle, a été promulguée le 11 février 2016.

Ce nouveau cadre légal est un grand pas dans la lutte contre le gaspillage alimentaire. Sur ce sujet, il prévoit aussi d’intégrer un programme bien défini dans le cursus scolaire du pays pour que les enfants apprennent, dès leur plus jeune âge, à devenir écoresponsables. Il vise en outre à pousser les entreprises à inclure des mesures prises contre le gaspillage dans leur bilan social et environnemental.

Pays-Bas : Des routes faites de plastique repêché des océans

dans Développement durable par
PlasticRoad1

Dépolluer les mers tout en construisant des routes, c’est ce que permettra le projet Plastic Road d’ores et déjà qualifié de «génial» aux Pays-Bas. En effet, à Rotterdam, on roulera bientôt sur du plastique plutôt que sur du bitume. Du coup,  les déchets en plastique auront une nouvelle vie, et mieux,  les millions de tonnes de CO2 normalement émis dans la fabrication et la pose de l’asphalte seront déjoués. Poursuivre…

« Escuela sustentable », la première école verte Uruguayenne

dans Développement durable par
uruguay

A Canelos, en Uruguay, l’Ong Tagma, porteuse du projet « Escuela Sustentable » a entamé en janvier dernier, les travaux de construction de la première école publique durable d’Amérique Latine. En collaboration avec Earthship Biotecture, l’entreprise de l’architecte Michaël Reynolds, elle réalise le projet avec l’aide de centaines de bénévoles venant du monde entier. Poursuivre…

Roger Milla aide dans le recyclage des déchets en plastique

dans Développement durable par
pavers

L’ancienne vedette du football camerounais, Roger Milla, aide dans le recyclage des déchets en plastique. Au Cameroun, ils sont devenus un problème majeur, bloquant les drains, polluant les rivières et faisant des ravages sur l’environnement. Poursuivre…

Zéro déchet en 2020 pour San Francisco ?

dans Zéro déchet par
San_Francisco

A San Francisco, une ville située dans l’Etat de Californie, le projet ‘ville sans déchet’ a commencé avec l’instauration d’une loi de l’Etat en 1989. Pour y parvenir, elle a pris les devants en mettant toutes les mesures en place en 2002 et s’est fixé le but d’atteindre zéro déchet d’ici 2020. Poursuivre…

Les déchets de l’Océan transformés en produits et accessoires de surf

dans Environnement par
surf dechets

surf dechet«Chaque jour, 8 millions de tonnes de déchets finissent dans l’Océan. 80% de la pollution qui touchent nos mers est d’origine terrestre et issue de l’activité humaine, avec des répercussions terribles sur la biodiversité et l’ensemble de notre environnement» explique Gilles Asenjo, président de Surfrider Foundation Europe

Cela n’affecte pas uniquement l’Europe mais plusieurs pays dans le monde. Les sources de pollution sont nombreuses dont une grande partie est d’origine terrestre, dues aux activités industrielles, agricoles, de la pêche elle-même, d’essais nucléaires ou tout simplement par les usagers de bassins versants. Mais elles sont aussi générées par les activités marines perpétrées par les navires, les plates-formes d’exploitation pétrolière offshore, les gravières sous-marines, les dragages ou les installations aquacoles. Cependant elles peuvent être d’origine atmosphérique car l’air peut transmettre à la mer certains polluants. Une étude a confirmé que les fumées et gaz émis par les navires augmentent l’acidité des pluies. Les moteurs diesel sont en général responsables du rejet dans l’air marin de plusieurs millions de tonnes de dioxyde de soufre, de CO2 et de différents oxydes d’azote (NOx) qui, associés, contribuent ensemble à l’acidification des océans et à l’effet de serre, entrainant à son tour le réchauffement climatique. Enfin, la pollution peut être biologique, comme montre le cas de certaines algues qui produisent des toxines quand elles se multiplient trop vite. Tout l’écosystème est menacé car elles consomment alors tout l’oxygène qui se trouve dans l’eau, entrainant ainsi la mort des poissons et autres espèces marins.

Pour lutter face ce fléau grandissant, plusieurs actions au niveau national et international ont été déployées depuis environ cinq décennies par différents pays en collaboration avec diverses associations, réseaux et notamment l’Organisation maritime internationale. L’installation de barrages flottants, l’utilisation de bateau de lutte contre la pollution et des mesures liées à la pêche, aux marées noires, à la protection de la faune et de la flore marine ont été prises depuis.

Bref, la pollution constitue un sérieux problème, en particulier pour les entreprises qui sont émotionnellement et physiquement en contact avec la mer, déclare le fondateur de Finisterre, une société de fabrication de vêtements de plein air, lors d’un récent débat animé par The Guardian.  Certaines d’entre elles ont trouvé des solutions comme le cas de  Five Oceans,  de Rareform , ou de Enjoy Handplanes qui ont su transformer des déchets de l’océan ou plutôt un océan de déchets, en produits et accessoires de surf écologiques.

Rubymoon, quant à elle, contrairement aux fabricants qui utilisent le pétrole pour fabriquer les maillots de bain, utilise de l’Econyl, un fil régénéré et fabriqué à partir de filets de pêche fantôme (filets qui ont été perdus, sous-évaluées ou abandonnées) et autres déchets pour la confection de bikinis. 100% des bénéfices nets générés par cette ONG sont ensuite prêtés sous forme de petits prêts par Lendwithcare pour l’automatisation de femmes entrepreneurs dans les pays en voie de développement.

surf dechetsTout comme RubyMoon, Finisterre utilise de l’Econyl dans plusieurs de ses maillots de bain. La société fait un don de 10% des bénéfices de la vente de son maillot de bain Econyl à Surfers Against Sewage, un organisme de bienfaisance environnemental pour la protection des océans et des plages du Royaume-Uni.

La lutte contre la pollution marine reste un défi constant malgré des avancées notables car comme  le soutient Maud Fontenoy, célèbre navigatrice, « les mers du globe nous rendent des services essentiels et inestimables. Elles nourrissent des milliards d’êtres humains, nous fournissent l’essentiel de l’oxygène que nous respirons. Elles portent également en elles des solutions pour la médecine mais aussi pour faire face aux défis énergétiques de notre époque ».

 

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