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Des toits en plastique recyclé épargnent les burkinabés de la chaleur

dans Zéro déchet par
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En Afrique, avec la chaleur, les toits en tôle transforment quasiment les maisons en fournaises. Calvin Tiam, un ingénieur camerounais, a trouvé une solution durable en utilisant des déchets plastiques au Burkina Faso. Poursuivre…

La Bibliothèque de Choses : Pourquoi acheter quand nous pouvons partager?

dans Économie durable par
Credit: static1.squarespace.com

Nettoyants pour tapis, tondeuses à gazon ou matériel de camping sont des choses dont nous n’avons pas besoin au quotidien. Alors, pourquoi les acheter? Créée comme une alternative très efficace à l’achat, la « Bibliothèque de Choses » – Library of Things en anglais- est un espace convivial innovateur où l’on peut louer un large éventail d’articles ou de services à très faible coût. Ce nouveau mouvement, fondé sur l’économie collaborative, s’étend rapidement au sein de diverses communautés dans le monde entier.

Source: pexels.com
Source: pexels.com

De plus en plus de gens croient en un futur construit sur les principes du partage et de l’emprunt. Les Bibliothèques de Choses sont des espaces qui ont été créés pour promouvoir l’efficacité ainsi que la solidarité au sein des communautés. Une large palette d’articles y est offerte à des individus qui  peuvent les emprunter à des prix très bas. Ces espaces deviennent graduellement des centres névralgiques où l’aide mutuelle afflue et où les individus peuvent également partager leurs connaissances sur divers sujets.

Les Bibliothèques de Choses se multiplient dans les pays comme le Royaume-Uni, les États-Unis, l’Allemagne, le Pays-Bas ou encore le Canada. Tous partagent la même vision: offrir aux gens l’accès à des choses dont ils ont besoin de temps en temps, tout en leur permettant d’économiser de l’argent. Ces bibliothèques prennent progressivement la forme d’un véritable réseau mondial.

A Londres, c’est un vieux conteneur qui a été finalement converti en une Bibliothèque de Choses après que plusieurs comptoirs « pop-up » ont été tentés sur une base d’essai. La création de cette bibliothèque a été rendue possible grâce au crowdfunding et des dons. La Bibliothèque de Choses londonienne a la cote auprès des membres enthousiastes, attirés par ce nouveau modèle d’affaires.

Ici, les gens peuvent louer des accessoires de cuisine ou des outils après avoir vérifié la disponibilité en ligne et après avoir créé un compte gratuitement. L’acquisition d’un article n’a jamais été aussi facile et bon marché. Le co-fondateur de La Bibliothèque de Choses londonienne, Bex Trevalyan, est catégorique sur cette forme de modèle d’entreprise:

Tout le monde devrait être en mesure d’accéder à des choses qui peuvent améliorer notre quotidien quand nous en avons besoin

Credit: spheric.ro
Credit: spheric.ro

Pour être efficace et afin de rester fidèle aux besoins de la communauté, l’équipe réagit selon les besoins et les attentes des clients. De ce fait, il offre aussi des services hormis les articles. Si vous avez besoin d’un DJ, ou vous voulez faire la promotion d’un événement ou encore planifier un atelier de travail, vous devriez envisager de frapper à la porte de la Bibliothèque de Choses à Londres. Une autre équipe prospère avec la Bibliothèque de Choses nommée Share. Elle est basée à Frome, en Angleterre et partage les mêmes objectifs que sa consœur à Londres.

Aux Etats-Unis, ainsi qu’en Allemagne, la Bibliothèque de Choses est plus diversifiée. Les ustensiles de cuisine et les outils sont parmi les espaces qui sont les plus appréciés et recherchés. D’autres bibliothèques offrent d’autres articles comme des kits de loisirs, des instruments pour la science et pour la technologie ou encore, des instruments de musique. Il existe aussi des bibliothèques inhabituelles qui louent même des cravates ou des jouets. À Toronto, le Share Depot, qui est la première Bibliothèque de Choses au Canada, jouit d’un grand succès. Il s’est rapidement étendu sur quatre différents endroits. Les membres peuvent y emprunter de l’équipement de camping, des équipements de sport ou encore des articles de fête.

Néanmoins, il y a certains critères à respecter pour être en mesure de partager vos produits. En général, les équipes des bibliothèques procèdent à des vérifications pour s’assurer que ces articles soient de bonne qualité et puissent être utilisés en toute sécurité, notamment en ce qui concernent des appareils électriques.

Du même souffle, ce concept de partage et d’emprunt consolide le sentiment de fraternité dans les communautés. Ce type d’économie collaborative est sans précédent et selon les experts, a une tendance «irréversible». Il est prévu que cette tendance mènera à l’utilisation efficace des ressources, avec pour conséquence, la création d’économies saines.

Savons recyclés: Ces bulles qui sauvent des millions de vie

dans Innovation sociale par
Credit: feedthechildren.org

Le lavage des mains avec du savon est un acte banal au quotidien. Pourtant, le fait de se laver les mains peut sauver des vies. Il reste malheureusement l’une des pratiques les plus négligées en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud mais qui peut pourtant sauver des vies. Chaque année, plus de 3 millions d’enfants meurent de maladies transmissibles qui peuvent être évitées en améliorant l’hygiène et l’accès au savon. Le recyclage des savons, en particulier les savons d’hôtel, a donc été lancé dans le cadre d’un projet mondial visant à rendre le savon accessible et à sauver des vies.

Source: www.un.org
Source: www.un.org

Le lavage des mains avec du savon est l’un des moyens les plus efficaces et peu coûteux pour prévenir les infections. Néanmoins, il demeure un luxe pour de nombreuses personnes dans divers pays d’Afrique et d’Asie, ainsi que pour les réfugiés et les victimes de catastrophes naturelles. Des études ont prouvé que l’utilisation du savon est plus efficace que les vaccins ou les médicaments pour prévenir les décès chez les enfants liés à la diarrhée ou autres infections.

Le projet de recyclage a été lancé par Derreck Kayongo, un réfugié né en Ouganda et qui s’est rendu aux États-Unis où il s’est finalement installé. Le premier jour qu’il y séjourne dans un hôtel, il est surpris de constater qu’un large éventail de différents types de savons était offert par client. A son étonnement, il remarque que ces savons sont remplacés tous les jours. Il se demande alors ce qui est fait à ces savons partiellement utilisés ; il comprend qu’ils sont tout simplement jetés. En fait, plus de 2 millions de barres de savon sont jetées quotidiennement dans les hôtels américains.

Le fait d’avoir été un réfugié au Kenya et d’avoir survécu à des expériences difficiles au sein d’une communauté pauvre qui n’avait pas accès à une seule barre de savon, déclenche en lui un sentiment de révolte contre ce genre de gaspillage. Avec le soutien de sa femme, Derreck Kayonga créé alors le Global Soap Project qui devient alors une cause essentielle pour la survie des millions d’enfants dans les régions pauvres. Le projet consiste à relier des hôtels et des personnes vulnérables à travers le monde. Le fondateur est d’avis que:

Tant de gens souffrent de maladies parce qu’ils ne peuvent tout simplement pas se laver les mains avec du savon

source: pexels.com
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Des hôtels comme Hilton et Intercontinental se sont associés au Global Soap Project. Au total, plus de 500 hôtels aux États-Unis se sont joints au programme. Le personnel de l’hôtel récupère les savons partiellement utilisés et laissés dans les chambres, puis les envoie ensuite dans les stations d’épuration où ils sont triés, traités, stérilisés et fondus à nouveau. Le seul coût que les hôtels doivent supporté est le transport de l’établissement vers l’usine de traitement. Les savons recyclés apparaissent comme nouveaux et expédiés vers des organisations non-gouvernementales (ONG) en Afrique, en Asie et en Amérique latine. Ils sont distribués gratuitement lors de visites médicales ou lors de campagnes de sensibilisation.

Fort de son succès, le projet Global Soap a étendu ses activités en Europe où les hôtels ont montré la volonté d’allier leurs forces avec l’organisation pour sauver des vies. Jusqu’à présent, plus de 2 millions de barres de savon ont été distribuées dans 32 pays.

L’autre grand recycleur de savons d’hôtel est la Clean the World Foundation. Cette dernière distribue des produits d’hygiène aux populations des États-Unis et des pays en développement grâce à une collaboration avec des ONG. La Fondation partage la même vision que Global Soap Project: «transformer les déchets en trésors».

Le recyclage du savon réduit aussi en grande partie les déchets solides. Mis à part le recyclage du savon, la fondation encourage les hôtels à recycler les produits en plastique. Tout dernièrement, la Clean the World Foundation et le Global Soap Project ont travaillé en étroite collaboration pour maximiser leur impact dans le monde.

Valériane : Le jardin bio qui apaise les âmes et la terre

dans Agriculture par

Au Jardin de Valériane qui chevauche Saint Etienne et la Rive-de-Gier dans La Loire, de talentueux propriétaires  ont créé un jardin avec de magnifiques bordures herbacées et de superbes arbustes. Ce jardin biologique possède une richesse de matériel végétal agrémenté d’une étonnante utilisation de couleurs. Poursuivre…

Un casque écologique et pliable pour les cyclistes

dans Innovation sociale par
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Les cyclistes et motocyclistes qui portent des casques les trouvent parfois encombrants. Tel fut le cas pour l’américaine Isis Shiffer. Pour améliorer son confort, elle a alors inventé un casque écologique désormais connu comme l’EcoHelmet.
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Bordeaux : Les employés encouragés à se rendre au travail à vélo

dans Transport par
bordeaux-metropole.fr

Laisser sa voiture à la maison au profit de la bicyclette pour se rendre au boulot reste une tâche très difficile pour certains salariés. Le manque d’atelier de réparation en cas d’ennui était un frein à cette démarche. Mais depuis l’installation d’un atelier vélo à Villenave d’Ornon, cela a donné un coup d’accélérateur au projet. (Article inspiré d’un reportage de Stéphanie Brossard de France Bleu, le lundi 14 novembre 2016) Poursuivre…

Montréal : Les épiceries zéro déchet en vedette

dans Zéro déchet par
Vrac & Bocaux

Au début du siècle précédent, vers 1925, les consommateurs allaient acheter nombre d’aliments à l’épicerie ou à la boucherie avec leurs propres contenants. Notamment du beurre d’arachide dans son pot de grès. Nous assistons actuellement à  un retour des choses à Montréal avec des épiceries où le gaspillage en tout genre est minimisé. (Article inspiré du Devoir, mis en ligne le 7 novembre 2016)
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Angleterre : Un club de foot s’offre le premier stade en bois qui marche au renouvelable

dans Développement durable par
zaha-hadid-architects-forest-green-rovers fr

Après l’imposition d’une alimentation végétalienne pour ses joueurs, le club de football britannique Forest Green Rovers innove encore. L’équipe, située à Nailsworth, Gloucestershire, a commandé un stade de foot qui deviendra le plus vert au monde. Poursuivre…

Plantui: Un jardin hydroponique intelligent

dans Agriculture par

Avoir son propre jardin pour cultiver ses légumes. Beaucoup en rêvent, mais ne le concrétisent pas faute d’espace ou se l’imaginant comme une corvée. Cependant, avec les techniques de culture que propose Smart Garden Plantui, ils n’ont plus d’excuses. Ce projet novateur a été conçu par Plantui Oy, une start-up basée à Turku, en Finlande. Poursuivre…

Au Pérou: Une ONG améliore la vie de 30, 000 familles

dans Entreprise Inclusive par
Sambrando

Eau potable, kits santé et hygiène, une cuisinière qui permet de diminuer la consommation de bois de 60 % évitant ainsi l’émission de 10, 000 tonnes de CO2 dans l’atmosphère…  Autant d’exploits réalisés par une organisation péruvienne à but non-lucratif, offrant finalement des conditions de vie décentes à des milliers d’enfants. Poursuivre…

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